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B i o g r a p h ie

Centala, « l’héritier » en Bambara, est un artiste multi-facettes. Mélange de France et  de Mali, il grandi en Bretagne, où il comprend très vite que sa vie sera pavée de créations multiples et variées.

Un jour, à 17 ans, Centala tombe littéralement dans la musique, à la faveur d’une guitare prêtée par un cousin. C’est la découverte d’une autre façon de s’exprimer, encore plus puissante, à ses yeux, que le dessin, que la parole.

C’est en autodidacte que  Centala apprends alors la guitare et le chant.

Avec le groupe Morenn, au début des années 2000, il se familiarise avec d’autres instruments, d’autres sonorités. A ce moment se mêlent déjà dans sa tête le grunge de Nirvana, les Koras Africaines, et les bombardes et autres violons celtiques.

Rennes. C’est dans cette ville que Centala laisse pousser les graines de créativité, d’énergie brute semées dans sa jeunesse. Là, il monte plusieurs groupes, plusieurs projets, tantôt « chanson française/jazzy » avec le groupe Mademoiselle Marteau, tantôt « Hip hop/ Electro’roll » avec Naïm, voire même du groove poussé à son maximum avec le trio Funk’U. L’énergie créatrice est à son paroxysme mais l’organisation et la prospection ne suivent pas, et ne permettront pas à Centala une professionnalisation dans la musique.

C’est pourquoi aujourd’hui, à 35 ans et multi instrumentiste, Centala décide de sortir son projet « solo- ou presque », du one man band accompagné de sa pédale de boucle.

Il participe aussi au projet HÔPES, où il compose et arrange des morceaux avec Fanny Morales.

Sur ces deux   projets, les influences musicales sont puisées dans tout son parcours : on voyage au gré des mélanges, dans des univers profonds et personnels, portés par des textes sincères et souvent engagés, plaçant  l’Humain au  premier plan.  

L’affaire est donc à suivre… de près…

 

 

 

 

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